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29 février 2016, par Camille Chandès
Quand on sait, comme le rappelle le sociologue et anthropologue Jean-Pierre Poulain dans son ouvrage Manger aujourd’hui (Privat, 2008), que l’homme mange 75 000 à 100 000 fois dans sa vie et y consacre treize à dix-sept années de vie éveillée, l’alimentation est une activité sociale à ne pas prendre à la légère. Ainsi, outre le goût pour la viande et le poisson, une des raisons évoquées pour ne pas devenir végétarien est bien la crainte de souffrir sur le plan social.
Au pays de l’élevage et de la (...)