5 600 mètres carrés de fruits et légumes, de viande, de vins, de yaourts… bios. Le marché numéro 1 de France prend le virage écolo. Objectif : démocratiser l’offre.
Qui fait des produits et sous produits animaux bio laïque ????,
Pourquoi les grosses centrales et les producteurs tournent en dérision les CONso qui osent demander quelle est la mort des animaux soi disant bio idem en réforme ?
Pourquoi ne pas indiquer dans les cahiers des charges l’ABS de souffrance et la mort laïque ?
voir débouché filière caprin !!! HONTE au bio et à ceux qui l’alimente qui désinforment les CONsommateurs !
Voulez-vous des échanges de mails hypocrites ? Ecrivez-vous même téléphonez...
La Fédération Nationale des Producteurs de Lait dont bio !!!! téléphonez : << Impossible de vous envoyer les cahiers des charges ça fait 3m² !!! .... >> mais oui pdt les réunions c’est leur document... Pour des con mais pas vendu charia et vous ?
Plus 20 % dans les ventes de produits bio venant d’où ? Souvent d’Allemagne, tout comme les porcs industriels dont se plaignent nos agriculteurs. Car les Allemands ont, aussi, investi dans le bio et la commercialisation du bio, depuis bien des années.
Une bonne part de la production bio vendue en France continuera d’être importée aussi longtemps que la FNSEA continuera à promouvoir auprès de ses adhérents cette grande tromperie qu’est l’agriculture "raisonnée," au lieu de soutenir activement leur passages au bio.*
Les éleveurs français se battent pour les prix, se plaignent et manifestent. Ils affirment qu’ils font de la meilleur qualité que les Allemand dans leurs ferme-usines. C’est probable, mais le meilleurs dans la médiocrité, pour le client, c’est difficile à apprécier.
Qu’ils passent au bio, qu’ils se soumettent à ces normes BIO françaises, plus sévères que les normes européennes mais qui rassurent le client. Et surtout, que la FNSEA cesse de manipuler les agriculteurs pour continuer à tirer bénéfice de ses relations incestueuses avec la chimie*.
Le marché sur lequel se bat l’agriculture française est aujourd’hui mondialisé. Privilégier la quantité pour gagner sur le terrain des prix, c’est reculer pour mieux sauter car de nouveaux pays peuvent devenir demain des concurrents mieux placés avec des installations plus récentes et des terres moins épuisées que les nôtres.
En revanche, l’image de qualité de la France est un héritage historique, unique. Une image qui fait vendre, partout dans le monde. C’est donc sur la vraie qualité, pas sur le meilleur du médiocre, qu’il faut miser pour sauver notre agriculture.
Mais, partout dans le monde, aujourd’hui et chaque jour un peu plus, qui dit nourriture de qualité dit BIO et c’est ça que certains n’ont toujours pas compris.
*... et tant que son lobbying lui permettra de convaincre les gouvernements de tous bords que la seule solution c’est plus d’industrialisation... donc moins de main d’oeuvre et plus de vente de chimie.
PS : Je n’ai aucun intérêt dans le bio mais je vis à la campagne et j’ai des amis agriculteurs, en bio comme en conventionnel.
Je demande vraiment à voir, je reste sceptique si c’est vrai ou juste un effet d’annonce comme souvent en ce qui concerne les denrées alimentaires . Par exemple, aux USA, on mets des etiquettes sur la nourriture avec marqué all natural, mais qui peut contenir des ogm ou etre contaminé par les champs et les cultures quelques metres plus loin.
A Rungis, le ventre de Paris se met au bio