En réponse à :
11 décembre 2015, par David Solon,
Karine Le Loët
On les attendait au tournant. Ils sont bien silencieux. Pourquoi les Etats les plus vulnérables au changement climatique et les pays en développement – dont les cercles se recoupent souvent – ne tapent-ils pas du poing sur la table ?
Ils s’embrassent, se congratulent, remercient la présidence française. Le comité de Paris, instance au cœur de laquelle les ministres des 195 pays se réunissent chaque soir, est troublant, tant l’éloge est présent et la bienveillance palpable. Mais pourquoi tant d’amour ? (...)