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28 octobre 2015, par Walter Bouvais
Dans Le Monde d’hier, Stefan Zweig témoignait de l’inexorable montée des nationalismes et de l’aveuglement qui rendit possible le ténébreux projet hitlérien. « J’ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison (…). Cette pestilence des pestilences, le nationalisme, a empoisonné la fleur de notre culture européenne », écrivait-il. Depuis quelque temps, au creux de nos vies modernes, peuplées de biens qui font notre confort quotidien et de minuscules polémiques qui font tourner la machine (...)