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28 octobre 2015, par Camille Chandès
L’économie du partage connaît un essor fulgurant. Et fait de plus en plus d’envieux. Entre les entreprises traditionnelles qui la récupèrent et les start-up du domaine qui utilisent les outils du capitalisme, les frontières sont devenues floues.
Pas une semaine ne passe sans que l’américain Uber – qui met en relation des chauffeurs de véhicule de tourisme et des clients – ne fasse parler de lui pour ses méthodes dignes du capitalisme le plus offensif (lobbying intensif, déstabilisation de la (...)