En réponse à :
1er octobre 2015, par Karine Le Loët
Des chercheurs néerlandais ont équipé des milliers d’Européens d’un capteur de pollution. De quoi améliorer la cartographie des particules, mais aussi alerter les populations sur leurs dangers.
Tout a commencé par un jeu. Ce vendredi-là, Frans Snik et ses collègues s’amusent à tester des instruments d’optique sur l’objectif d’un smartphone. Et là, surprise : « Ça fonctionnait très bien ». Aussi une idée germe-t-elle : « Si l’on veut pouvoir mesurer la pollution de l’air tout le temps et partout, pourquoi ne (...)