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3 septembre 2015, par Hélène Gélot
Quand il s’agit de particules fines présentes dans l’air, la capitale chinoise est souvent montrée du doigt. A raison, car ses niveaux sont alarmants. Mais pas les plus impressionnants du globe. Alors, pourquoi cette fixette ?
Brouillards épais, habitants munis de masques de protection, pics de pollution chroniques, maladies respiratoires… Les images et les chiffres qui témoignent des niveaux de pollution de l’air à Pékin sortent chaque jour ou presque dans les médias. Pourtant, les données de (...)