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20 avril 2015, par Stefano Liberti
Depuis 2012, l’élue se bat pour accueillir dans des conditions dignes les migrants qui arrivent sur les côtes de son île. Mais la militante de gauche et écolo lutte aussi contre l’hypocrisie de l’Union européenne. Rencontre.
Voilà trois ans qu’elle vit à bout de souffle, toujours à la course entre son bureau, le quai du port, le centre d’accueil, les appels du ministère de l’Intérieur. En mai 2012, Giusi Nicolini a été élue maire de Lampedusa, ce morceau de terre au milieu de la Méditerranée, plus proche (...)