Je suis d’accord avec Michel. Chrys : Pour reprendre votre comparaison : Oui, mais ce n’est pas en mettant seulement des chaussettes que l’on se soignera non plus. Il faut des deux ! (et encore pour moi c’est un mauvais exemple, je n’aime pas les médicaments). Mais bref, il ne sert à rien de tuer dans l’œuf une initiative qui aura clairement des bénéfices sociaux importants. Nous ne sommes pas encore arrivé au point ou rien n’est jeté, donc pourquoi critiquer cette démarche ? ON en fait quoi en attendant des 40 à 50% de nourriture restant, hein ? N’importe quelle stratégie efficace mettra d’abord en œuvre la réduction à la source. Mais c’est tout simplement le principe des 3RV (réduction, réutilisation, recyclage, valorisation) on commence par la réduction ÉVIDEMMENT, car c’est la meilleure pratique à mettre en place, mais si on peut anticiper également avec la réutilisation, le recyclage et la valorisation alors tant mieux. On veut des stratégies complètes pour nos entreprise ou pas ? Oui ! Alors anticipons, prévenons, mais effectivement faisons les choses dans l’ordre. Je ne vois pas en quoi mettre deux pratiques innovantes socialement en parallèle serait préjudiciable ?
Par ailleurs pour ce qui est de l’incitatif, j’ai bien peur que celui-ci soit quand même bien moins intéressant que la réduction en terme de performance financière. Et si ça l’est ça ne change rien au reste, juste qu’il faut encore faire du lobby auprès du gouvernement.
c est clair y a trop de choix dans les hyper a tel point qu on passe une heure a choisir une tranche de jambon si y avait moins on gaspillerai moins et si c était moins chèr on achèterai plus les problèmes ce sont les hyper eux même qui les créent ....
Plutôt que de légitimer le gaspillage par du recyclage, ne serait-ce pas mieux d’obliger les hyper à ne pas acheter, de plus en trop grande quantité, des légumes et des fruits calibrées et sous payées au paysan, et des produits dont la date de péremption est complètement illusoire ?
Je ne pense pas qu’obliger à proposer les invendus à des associations fait qu’on marche sur la tête, ça paraît être du bon sens et je trouve ça bien de légiférer là dessus.
Je suis d’accord que le plus efficace serait d’intervenir en amont, mais certainement plus compliqué à encadrer. Alors je prefere qu’on sorte quelque chose qui permette de réduire ne serait ce qu’un peu les gâchis plutôt que rien du tout.
De traiter les conséquences et non les causes, c’est comme se soigner d’un rhume avec des médicaments alors qu’on a pas de chaussettes.
Ca fait de l’argent pour les intermédiaires. Alors qu’une solution de bon sens suffirait. Le bon sens est la seule chose que cette société a besoin.
Pour reprendre votre comparaison : Oui, mais ce n’est pas en mettant seulement des chaussettes que l’on se soignera non plus. Il faut des deux ! (et encore pour moi c’est un mauvais exemple, je n’aime pas les médicaments). Mais bref, il ne sert à rien de tuer dans l’œuf une initiative qui aura clairement des bénéfices sociaux importants. Nous ne sommes pas encore arrivé au point ou rien n’est jeté, donc pourquoi critiquer cette démarche ? ON en fait quoi en attendant des 40 à 50% de nourriture restant, hein ? N’importe quelle stratégie efficace mettra d’abord en œuvre la réduction à la source. Mais c’est tout simplement le principe des 3RV (réduction, réutilisation, recyclage, valorisation) on commence par la réduction ÉVIDEMMENT, car c’est la meilleure pratique à mettre en place, mais si on peut anticiper également avec la réutilisation, le recyclage et la valorisation alors tant mieux. On veut des stratégies complètes pour nos entreprise ou pas ? Oui ! Alors anticipons, prévenons, mais effectivement faisons les choses dans l’ordre. Je ne vois pas en quoi mettre deux pratiques innovantes socialement en parallèle serait préjudiciable ?
Par ailleurs pour ce qui est de l’incitatif, j’ai bien peur que celui-ci soit quand même bien moins intéressant que la réduction en terme de performance financière. Et si ça l’est ça ne change rien au reste, juste qu’il faut encore faire du lobby auprès du gouvernement.
Dons obligatoires dans les hypers : la fausse bonne idée venue de Belgique