Le prix des appareils électriques étant de + en + bon marché (ainsi que parallèlement le mobilier et autres tous plastiques), les communs des mortels s’y précipitent et se retrouvent ainsi piégés par la dépendance au nucléaire. Et les énergies renouvelables entre les mains des mêmes monopoles énergétiques = de moins en moins de terres cultivables.
La seule solution : aides aux installations de petites unités locales et artisanales en production énergétique. Financement participatif pour 1 mutualisation des moyens et techniques : mais quand je pense qu’Arnaud Montebourg projette d’en encadrer la procédure pour demander à ce que les petits actionnaires investissent dans les sempiternelles mêmes groupes, qui ne changent que de nom, pas de politique de production, et encore moins dans celle de la gestion de leurs déchets empoisonnés et empoisonneurs...Je vous conseille d’arrêter votre crédulité aveugle, ô cherrrs contribuables qui entretenaient vos élu(e)s pourtant souvent coupables de fautes professionnelles graves dans l’exercice de leurs fonctions. Elle a bon dos, la crise, surtout quand on n’a pas le courage d’affronter son reflet
Par contre, l’urbanisation à outrance, les centres commerciaux gigantesques, les autoroutes et lignes TGV ... c’est cela qui détruit les surfaces agricoles.
Une autre solution est d’encourager le stockage de l’électricité photovoltaïque et d’autoriser un stockage complémentaire avec l’électricité achetée la nuit aux heures creuses.
Cela nécessite un compteur triple (production solaire, consommation, injection solaire sur le réseau) dont le coût ne doit pas être bien différent de celui d’un compteur double.
L’autoconsommation et le stockage en cycle quotidien de l’électricité photovoltaïque en France permet de ne pas soutirer d’électricité du réseau aux heures de pointe (18 à 22 h) en toutes saisons, y compris l’hiver.
Serons-nous enfin payés pour économiser l’électricité ?