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21 novembre 2013, par Mathilde Auvillain
Préserver les terroirs, démocratiser l’art culinaire, remettre le plaisir au centre de tout. Depuis plus de vingt ans, l’Italien fondateur du mouvement Slow Food milite pour la bonne bouffe. Et n’a qu’un regret : que la France, sa seconde patrie, ne le suive pas.
A Bra, petit bourg de la campagne turinoise, dans chaque boutique, café ou restaurant, une photo du patron avec Carlo Petrini trône derrière la caisse, à la place des icônes de la Sainte Vierge. Dans sa ville natale de la vallée du Piémont, (...)