Voici un scoop : les propriétaires « Terriens » ne sont pas légion. Alors l’habitat groupé, c’est d’un œil plein d’envie qu’on le regarde.

Chez nous, comme ailleurs, il y en a qui crèchent dans des apparts mini-mini, d’autres dans de plus grands, d’autres encore qui se paient le luxe de vivre en maison, mais loin de toute civilisation. Il y en a encore qui goûtent aux joies de la coloc, mais partagent, avec plus ou moins de réussite, tâches ménagères et salle de bains. Certains d’entre nous rêvent d’avoir mieux et plus grand, de vivre entre soi mais près d’autres, de confiance. Histoire de coller les mômes chez les voisins le temps d’une finale de basket, de se retrouver (par choix) pour une fête ou un dîner, de partager une machine à laver, une voiture (on en a peu), une salle de jeux de société (certains d’entre nous en sont férus). Une utopie ? A la rédac, on en avait tous entendu parler, de ces projets d’habitat partagé. On supputait le plan de vieux hippies. On s’est trompés. Des projets fleurissent un peu partout en France, pour tous âges et tous budgets, certains cherchent encore des candidats. Qui d’entre nous sera le premier à s’inscrire sur une liste ? —