Chaque année, nous sommes 80 millions de plus à coloniser la Terre : comment s’étonner alors que la consommation globale augmente ?
En effet, pour la stabiliser, voire la faire décroître, et ce sur une planète aux dimensions et aux ressources renouvelables limitées, il faudrait faire sacrément baisser les consommations individuelles...
Maintenant, il est bien évident qu’avec les dernières projections de l’ONU, à savoir 9,6 milliards en 2050 et 10,9 milliards en 2100, ce jour du dépassement n’est pas prêt d’intervenir plus tard.
La seule solution raisonnable pour faire "machine arrière" serait de déjouer ces funestes statistiques onusiennes en adoptant une Démographie Responsable.
Ne tomber pas dans le panneau du "il y a trop de population sur terre".
L’agriculture intensive à l’hectare (faire pousser des haricots avec du mais avec des courges par exemple sans pesticides ni herbicides ni fongicides ni engrais car les uns fournissent l’azote naturellement)
embauchera beaucoup plus de monde et nourrira beaucoup plus de personne que
l’agriculture intensive par agriculteur (300ha de champs pour à peine 21000 quintaux de blé pour un seul agriculteur, un tracteur et des millions de litres de pétrole).
Il y a à manger pour tout le monde mais certes pas assez de viandes (protéines animales très mal assimilables par l’organisme et qui fait des maladies de société comme le mauvais cholestérol, le cancer, etc entre autre)
alors que les graines germées et les champignons pallient très naturellement aux protéines végétales largement bénéfiques pour la santé (et l’environnement )
Il n’y a pas que l’alimentation...
A l’occasion du jour du dépassement, le GFN a publié une courbe qui montre que depuis 1970, le dépassement écologique individuel d’un terrien n’est dû qu’à la baisse de la biocapacité et donc à l’augmentation de la population mondiale : de quoi faire réfléchir tout écologiste...
Cdt
http://www.fichier-pdf.fr/2013/12/2...
Dès aujourd’hui, l’humanité vit à crédit sur le dos de la planète