Pour le coup, les produits ont l’air assez exotiques...Disons que quand on mange des bonbons jaune fluo, on se doute bien que c’est pas forcément très sain...
C’est en tout cas moins inquiétant que les produits bios contaminé par les pluies et les vents que l’on achète à prix d’or. Je tiens un blog sur l’alimentation naturelle et je peux vous dire que j’ai énormément de peine à bien manger maintenant que j’y fais attention.
Manger sainement, je veux bien....Mais peut-on vraiment le faire quand "ceux" nous vendent du bio sont les mêmes qui nous vendent des bonbon Haribo ? (comprendre par-là les gros groupes industriels...)
je voudrais bien savoir ce que mangent et boivent tous ces pseudos scientifiques !!
c’est vrai aussi que je vois de bons écolos acheter bio et fumer comme des sapeurs mais il est vrai qu’ils roulent leurs cigarettes eux mêmes !
je voudrais savoir aussi où se loge la notion de plaisir dans toute cette faune malthusienne dont le nombril (muni d’un percing pour faire in) est la seule valeur qui compte avec la musette en tissu justement pour transporter le tabac ! Mais j’oubliais les bretelles (plus le pantalon est large plus l’homme est fort) et le mouchoir noué autour du cou sans omettre bien sur la casquette ainsi va l’histoire quand on en a trop se pose la question du choix quand
on n’a pas de quoi manger à sa faim on mange ce que l’on trouve on trouve cela bon et on ne consulte pas la bible du parfait écolo qui ne sait même pas faire la différence entre un topinambour et un cerfeuil bulbeux !
Alors là, je n’adhère pas trop à votre article... Ok bien sûr pour les substances toxiques (impensable, le coup de la tartrazine !), mais qu’y a-t-il de mal à utiliser un colorant issu de la cochenille ou un gélifiant obtenu à partir de vessie de poisson ? Ce colorant et ce gélifiant sont-ils toxiques ??? L’article ne le dit pas. Alors on dirait que l’on mélange tout, le toxique et le surprenant...
aargh ! je me suis réjouis trop vite en lisant l’article, je ne mange pas tous ces trucs industriels mais la Guiness... Que vais je boire cet été en Irlande ?
Si vous ne voulez pas de "produits cachés", faites votre cuisine vous même, à partir d’aliments simples, issus directement de l’agriculture ou de votre jardinage/ élevage / pèche, et n’ajoutez que du sel raffiné et des épices ou aromates de votre jardin !
Ainsi, les cheveux dans la soupe seront vos propres cheveux, les vessies de poissons seront celles de votre friture d’éperlans entiers, etc. Ce sera pareil, mais vous n’aurez personne à qui le reprocher.
Cher lecteur,
Suite à votre commentaire, j’ai effectué des recherches supplémentaires qui ont confirmé d’une part vos dires, mais également les miens. Voici une fiche toxicologique sur le propylène glycol éditée par l’INRS, l’institut national de recherche et de sécurité, qui indique que le propylène glycol peut être utilisé comme "composant de fluides hydrauliques, antigels, liquides de freins, liquides réfrigérants".
Cher lecteur, oui, c’est vrai, les deux produits sont différents. Néanmoins le propylène glycol est lui aussi utilisé dans l’aéronautique entre autres comme antigel coûtant plus cher, certes, mais étant moins polluant. Les journalistes de cet article ont donc bien fait leur travail.
Goudron, insectes, poils : savez-vous ce que vous mangez ?