Pour éviter tout ceci rien ne vaut de tout cuisiner soit même et si possible de cultiver quelques fruits et légumes.
Cyrielle, conseillère pour ouvrir un compte bancaire en ligne.
Méthode infaillible pour limiter toutes ces cochonneries : se mettre en cuisine. Acheter des quantités modestes. Prévoir les menus à l’avance. Et faire simple : vapeur, papillote, cuisson rapide.
Et stockage des restes au congélateur.
C’est peu et c’est pas mal pour la santé.
Ce que je fait depuis des lustres malgré le boulot.
Maintenant j’ai un jardin, et c’est d’autant plus simple. Mais je pense à tous ceux qui en sont privé.
Résister aux sirènes industrielles c’est la seule chose à avoir en tête.
Ou tout simplement lire le petit livre (facile à mettre dans sa poche pour faire ses courses) de Corinne GOUGET : "ADDITIFS ALIMENTAIRES Le guide indispensable pour ne plus vous empoisonner", pour un coût de 9 €. Depuis que l’ai lu je fais beaucoup plus attention aux étiquettes...
Et surtout arrêter de manger du NUTELLA, bourré de glutamate, et qu’on nous sert partout sur les plages : gaufres, crêpes, etc...
C’est tout simplement un "bouffe-neurônes" cet additif, aussi dangereux que l’Aspartame, et dire qu’on en donne à tour de bras aux enfants avec ce Nutella...
nous sommes tous concernés par les additifs et cela fait quelque 30 ans qu’un député européen belge, Paul Lannoye avait fait édité une brochure sur les produits qui apporte davantage d’argent aux producteurs !
le grand problème est que la majorité des consommateurs n’ont pas encore appris à lire une étiquette lorsqu’il achètent leur nourriture ce qui m’amène à dire que c’est à l’école que l’on peut et doit commencer à informer nos bambins car eux aussi sont concernés et font beaucoup plus attention que leurs parents à ce qui est mis dans le caddy ! !
Aspartame, carraghénanes, sulfite d’ammonium... Décrypter les étiquettes avec Terra eco