Les quartiers défavorisés sont-ils les plus pollués ? Une étude de l’Ecole des hautes études en santé publique fait le point, quartier par quartier, à Lille, Lyon, Marseille et Paris.
Petites remarques :
Les gens riches, même exposés à la pollution automobile (aur)ont davantage de moyens pour se faire soigner et ce d’autant plus que les plus démunis cumulent souvent d’autres problèmes sanitaires .
Le problème des axes routiers repose surtout sur la dictature de la mode automobile soit tout véhicule individuel voire collectif, usant des pneu[matiques car la consommation d’hydrocarbures ne constitue l’unique nuisance de ce moyen de déplacement !
Avec une partition de l’infrastructure, au profit d’une voie ferrée, tram et\ou chemin de fer, les dégâts environnementaux seraient [déjà, un peu] moindres .
Il est alors loisible d’interroger la viabilité de la voirie dans l’économie et si, comme le prédisait Alfred Sauvy ``Il faudra un jour labourer les autoroutes``, leur recyclage urbain ne sera(it) pas plus profitable à la prospérité de notre société ...
Pauvres ou riches, en ville on a tous les mêmes problèmes. Il se peut qu’en raison des véhicules moins récents en banlieue on est un peu plus de pollution. Mais cela doit s’équilibrer avec la baisse de trafic et "l’étouffement" des immeubles dans le centre.
Marie-Anne, du guide cave a vins
Vivre dans la pollution, un problème de pauvres ?