En effet, en ville comme à la campagne ou à la mer, les promenades permettent de remplir bien des sacs d’emballages recyclables ou non, sauf que l’on n’y va pas forcément pour cela (donc on n’a pas pris de sac ni de gants et les poubelles ou conteneurs sont introuvables ou débordent déjà : 500 m le long d’un fossé ou d’une plage et calculez le volume récolté !).
On peut aussi se dire que les taxes payées doivent servir au nettoyage (aux emplois utiles) mais hélas certain/es se servent de ce principe pour jeter derrière eux sans se soucier des conséquences (par la dispersion dans l’environnement et pour l’augmentation de leurs propres taxes si vraiment on nettoyait tous leurs détritus).
Le commerce et l’industrie semblent avoir renoncé en France à consigner les emballages, or quelques dizaines de centimes de consigne par bouteille nous éviteraient de marcher sur des tas de verre brisé certains matins avant l’éventuel balayage municipal (ami/es abonné/es aux crevaisons de pneus, bonjour !).
Pour le continent de plastique dans les océans : recyclons les navires-usines baleiniers ou autres en usines de dépollution/tri et production d’énergie par recyclage des tonnes à ramasser (ce qui reviendra peu à peu moins cher que certaines énergies fossiles...).
Vivement que les bouteilles pastiques soient en plastique bio-dégradable... certaines le sont déjà je crois, donc il faudrait étendre et obliger nos industriels à le faire. Je viens dernièrement de faire une ballade en vélo sur un nouvel itinéraire vélo le long de la Loire (ouvert depuis août 2012), et j’ai été effarée du nombre de bouteilles qui jalonnaient le parcours... Je pense y retourner un jour munie de sac poubelle, car toutes ces bouteilles vont descendre la Loire et se retrouver fatalement dans l’océan Atlantique !
Mais j’ai parfois l’impression d’être la seule à m’inquiéter de l’ampleur du problème.
Plastique : gros plan sur un objet flottant identifié