Il est vrai qu’on peut s’impatienter en abordant à la fin de ces grands raouts ces longs comptes rendus illisibles et bourrés de sigles et abréviations qui renvoient en bas de pages. Du vrai travail de fonctionnaires poussiéreux qui tirent leur salaire de ces réunions à la chaîne. C’est pourquoi ils en organisent tant. Aussi coupons les financements de ces assemblées d’un autre âge et envoyons ces enfumeurs planter des arbres pour assainir l’air de la planète et dégager le champ des possibles. Car l’efficience de leur travail est à mesurer aux résultats de ces vingt dernières années : une planète et des sociétés humaines en déroute.
C’est devenu récurrent, ces raouts internationnaux accouchent de souris si tant est qu’ils accouchent !
Les mandatés à ces conférences sont bloqués par les lobbyistes d’un monde économique qui persite à ne regarder que son nombril et ses intérêts court termistes. Comportement suicidaire, malgré l’avertissement de quelques Economistes un peu plus éclairés sur le coût de la non action qui sera énorme. Mais on s’en fout on s’imagine toujours qu’on passera à travers les mailles du filet et qu’on trouvera bien quelques poires de consommateurs pour payer à notre place.
E-coeu-rant !
L’avenir ne changera que par les actions citoyennes poussant (acculant) leur proches élus (municipaux puis inter communaux, etc...) et en faisant remonter le plus haut possible la pression.
Conférence sur la biodiversité : « Les dissensions de l’Union européenne mènent au blocage »