Faire une requête sur un moteur de recherche rejette du gaz carbonique. Combien ? La question fait polémique. Pour trancher, « Terra eco » a dégainé sa calculette.
Votre calcul considère que Google ne fait QUE moteur de recherche. Je pense que l’on peut trouver là la différence entre les chiffres avancés par l’entreprise et ceux issus de votre calcul. En effet les serveurs Google hébergent des services innombrables, dont le plus gourmand est peut-être GMail...
D’autre part en lisant l’article je me suis posé une question bête : chauffer une tasse de thé, oui mais comment ?
Au gaz, dans une bouilloire, ou encore au micro-onde ? Est-ce équivalent "carboniquement" parlant ?
"Pour trancher, « Terra eco » a dégainé sa calculette".
Yeah, Terra Eco le journal bobo écolo. Un beau journal capitaliste vert qui tranche. Tout d’un coup je me dis que les autres calculs n’ont aucun sens, Terra Eco détient la vérité.
Bon Clément soulève des points importants, mais là n’est pas le problème, Terra Eco a tranché avec sa calculette.
Qui sont ces mauvais coucheurs ? Ont-ils seulement lu l’article ? Sens d l’humour n’est pas incompatible avec rigueur de l’information. Sauf chez les gens pas drôles et peut-être extreme-gaucho-sectaro-décroissants-anti-tout ? Oh la mauvaise langue...
Apparement, certains lecteurs ne sont pas d’accord avec les articles de Terra Eco. Je me pose une question : pourquoi continuez-vous de le lire ?
Au lieu de perdre votre temps, allez vers d’autres journaux qui sont plus dans votre registre.
Ces calculs ont déjà été faits pas le journal "la décroissance" avec des conclusions sensiblement équivalentes, hélas... Internet est une horreur, écologiquement parlant !!
Lu aussi l’article de la décroissance quelques temps après celui de Terra eco. Mention spéciale à la décroissance qui vomit sur internet mias se diffuse devinez où... sur internet Mon avis : les écolos tirent la tronchent quand ils ont du papier entre les mains parce que ça pollue et quand ils ont du web sous les yeux parce que ça pollue. Y’a toujours l’option de rester chez soi et ne rien faire.
Google, un moteur à 7 grammes de CO2 ?