Après l’échec des négociations internationales à Durban, seuls les marchés peuvent pousser à l’action les décideurs, estime Thierry Tiéné, conseiller environnement.
Notez que cela enrichi les pays producteurs.
Et sachant qu’un baril émet environ un tonne de CO2, il vaudrait mieux une taxe carbone de 200 dollars (ou Euros pour nous ?). Les caisses de l’état en ont bien besoin....
Il faudra bien respecter un jour, si l’on veut s’en sortir, la vraie Règle d’or : Le Double-Zéro !?
Zéro déficit pour Zéro croissance !!
Pour l’instant, avec nos gouvernants comme nos prétendants, le compte n’y est pas....
200 dollards, pas encore assez cher pour empêcher d’en acheter et de poursuivre les projets de destruction d’autres éco-systèmes dotés de gisements. Même Mr et Mme tout le monde continue à rouler pour s’engouffrer dans les grandes surfaces. Ayant participé à la collecte nationale pour la Banque alimentaire, j’y ai rencontré des gens qui n’hésitent pas à prendre leur voiture pour 500m, mais qui rechignent à investir dans 1 kg de pâtes à donner ! C’est tout de même 1 minorité, mais alors vu la qualité de leur santé (obésité, sur-médication...1 égoïsme avachi devant leur télé, quand ils ne jouent pas au robot mixer pour oublier leur détresse face au chômage, mais toujours prêts à se vendre aux + offrants ), ainsi que leurs quantités de déchets quotidiens non gérés (pas le temps est leur phrase favorite)...je me dis qu’ils préfèrent Mad Max et Big Brother, plutôt que de réviser leur mode de pensée et de vie !
100000 excuses pour ma mauvaise humeur...qui ne m’empêche jamais de remercier les magnifiques rencontres et de rester fière de participer à la préservation de la dignité humaine.
de toute façon tout le stock de pétrole accessible sera extrait et brulé.
je ne vois vraiment pas ce qui pourrait s’y opposer. Comme vous le dites si bien, nous continuons de bruler à tout va. Ce n’est que lorsque les puits seront vides et qu’on sera obligé de vivre autrement qu’on le fera.
Vous verrez.
Le problème est qu’on devrait s’y préparer mais allez expliquer ça à monsieur tout le monde qui s’en fiche tout à fait. Au lieu ralentir notre activité et de s’arrêter avant le mur on va s’y encastrer. Le choc sera rude et la crise économique sera terrible contrairement à celle d’aujourd’hui dont on parle beaucoup trop.
Le problème ce n’est pas la nature ni l’atmosphère qui va retrouver le CO² qu’elle avait stocké un temps dans le sous-sol mais bien l’humanité.
à bientôt.
Oui, un baril à 200 $ et même à 500 $ règlerait pas mal de problèmes, mais comment y parvenir ?
"Après l’échec des négociations internationales à Durban, seuls les marchés peuvent pousser à l’action les décideurs" Oui et non. Les marchés sont dans une dynamique que personne ne contrôle et les décideurs ne font que subir.
Faut-il attendre l’épuisement des réserves et les bienfaits d’une économie de pénurie pour devenir raisonnables ? A moins qu’une autre catastrophe plus grave ne réveille les consciences avant.
A court terme, ce sont bien les marchés qu’il faudrait changer, mais par une remise en cause des lois du marché, une révolution en somme, en espérant que celle-ci sera pacifique. Ce sont bien les décideurs qui doivent agir, sinon les révolutionnaires le feront.
"Le problème est qu’on devrait s’y préparer mais allez expliquer ça à monsieur tout le monde qui s’en fiche tout à fait". Ma réponse est que Mr et Mme Truc/machin seront obligé(e)s de réduire leurs dépenses...ou de continuer à sur-consommer en prostituant leurs progénitures, eux mêmes...ou de privilégier la violence, au moins pour échapper à leur culpabilité.. !
J’avoue que les humanoïdes terrestres entretiennent un sacré suspens sur ce qu’ils décident pour se pérenniser...1 polar cosmique passionnant. Mais qui ne peut continuer impunément, à force d’être si navrissime ! Quand on se prend pour des dieux, avant même de mériter d’être humains...
« Vivement un baril à 200 dollars ! »