D’où viennent les tomates de nos supermarchés ? Immersion au cœur des serres où poussent, hors sol et sur des plants géants, le deuxième légume le plus consommé de France.
Cet article n’a rien à faire dans votre journal.
Certes cela nous informe qu’il n’y a pas qu’en Espagne
que l’on produit de la m.... ! en vente libre en supermarché.
Triste réalité d’hyper-productivisme, dicté par la grande distribution.
Forcément la terre a été lessivée et poluée par la génération passée.
Il aurait été préférable de parler des variétés anciennes, charnues, goûteuses,
gorgées de soleil produites par les multiples AMAP (Association Pour le
Maintien d’une Agriculture Paysanne) de la région et faire preuve de davantage
d’esprit critique.
Article intéressant mais qui ne va pas jusqu’au bout : quid de leur goût, de l’impact sur l’environnement du chauffage la serre.D’accord avec ELT : aucune distance. Dommage !
une belle présentation, un style relevé, mais ... aucune distance, aucune analyse critique de l’envers du décor de ces "belles productions". Je ne développe pas, je rejoins les commentaires des internautes sur l’absence totale d’intérêt de telles productions. Je préfère, moi aussi, les tomates cabossées à l’image des humains imparfaits, quelquefois mal foutus mais souvent goûteux. Dommage, j’aime votre revue et l’achète au kiosque chaque mois.
Merci pour ce publi-reportage, mais que deviennent les "sacs de roche" en fin de cycle (décontamination) ? Quel coût de chauffage pour ces serres ? Bref, c’est pratique, cela n’a pas de goût, c’est standardisé.....Et cela pollue beaucoup non ?
Beurk !
Sans goût, sans défaut visuel, que de l’apparence comme notre société de l’image qui décervelle les gens et les font courrir après des images au lieu de leur montrer la vérité.
Sans goût, quel intérêt de ne pas les mettre au frigo, elles n’ont rien à y perdre.
Ce n’est pas comme ces malheureux maraichers qui ont augmenté leur productivité, baissé leur profit pour le bonheur des distributeurs uniquement !
Je préfère les tomates de mon jardin qui portent de beaux noms comme "Myriade", "Royal Guillemot", "marmande" la classique, etc...
Poussées en terre nourrie d’amour et de purin de plantes, même avec leurs défauts et leur arrivée tardive je ne les échangerais pas à une contre mille...
Tomates : une vie sans terre