Pendant des années, on l’a vue comme un éden où s’épanouissent loups, aigles, chevaux sauvages… En fait, la zone d’exclusion de Tchernobyl a plus des allures de motel hanté que de forêt enchantée, rapporte le magazine Wired. Les scientifiques douchent l’enthousiasme sur la biodiversité autour de la centrale, relevant chez les hirondelles un taux anormal de malformations, d’albinisme, de tumeurs… Les décès sont compensés par l’arrivée de nouveaux individus, attirés par cette zone où l’humain est rare. Bref, « les animaux y entrent, mais n’en sortent pas toujours ».
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