Des culottes noires en guise de drapeaux rouges. Pour financer leur lutte, 2 000 couturières thaïlandaises ont décidé de vendre sur Internet les sous-vêtements qu’elles continuent de fabriquer devant leur ancienne usine. Remerciées il y a six mois par le géant du secteur Triumph, elles ne s’avouent pas vaincues. L’entreprise suisse a invoqué la crise pour justifier les licenciements et n’a pas cru bon d’organiser un plan social pour ses employées.
Le + environnemental/social : soutien au combat contre la discrimination syndicale.
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