Les semenciers vendent les PGM comme la solution contre la faim et la pauvreté dans le monde. Ils planchent sur une deuxième génération de variétés génétiquement modifiées, résistantes aux conditions de culture difficiles (sécheresse, sols acides par exemple). Mais l’intérêt de la première génération est déjà remis en cause. Elle ne permettrait pas d’augmenter les rendements et de diminuer les quantités de pesticides utilisés comme promis. C’est ce que soulignent Les Amis de la Terre dans un rapport publié en janvier 2007 ( [1]. Mieux, ils provoqueraient même l’effet inverse selon des études indépendantes citées par l’association écologiste.
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