C’est la révolution, disent les parents à leur petit garçon. Du coup, l’école est fermée et il s’ennuie. Dans son village de pêcheurs, il ne reçoit qu’un écho lointain de ces bouleversements, à travers la télé, la grève des éboueurs ou les rumeurs – des jeunes ont pris la mer pour fuir ce pays sans nom. La Tunisie, sans doute, bien connue de May Angeli. A travers ses magnifiques gravures sur bois, l’auteure montre comment un enfant peut recevoir un événement tel que les révolutions arabes.
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