« Nous avons rencontré ces derniers mois de nombreux acteurs de la presse, souvent intéressés par notre projet de développement. Toutefois, le temps, long, de ceux-ci s’avère bien souvent incompatible avec le temps, court, dont nous disposons pour consolider les finances du journal et enclencher une nouvelle phase de son développement économique, explique Walter Bouvais, cofondateur et directeur de la publication. Il s’agit maintenant de voir s’il est possible de passer concrètement aux actes, soit avec des interlocuteurs que nous connaissons déjà, soit avec de nouveaux partenaires que nous serions amenés à rencontrer pendant cette période. »
La COP21 a démontré qu’une nouvelle ère s’ouvre pour le monde. Terra eco est un titre reconnu et idéalement positionné pour informer les lecteurs sur les mutations en cours et à venir de notre société. L’équipe de Terra eco remercie d’ailleurs les lecteurs qui lui ont toujours témoigné leur confiance, et continuent de le faire en ces temps décisifs pour le projet.
Plusieurs conditions ont été identifiées pour apporter à Terra eco la sérénité et les perspectives de développement auxquelles l’équipe du titre aspire : l’adhésion au projet éditorial et économique, une visibilité financière suffisante, un partenariat commercial permettant de développer significativement l’abonnement.
La décision de lancer un appel d’offre à partenaire ou repreneur a été prise à la demande des dirigeants de Terra eco, avec l’accord du Tribunal de Commerce de Nantes. Ce dernier a renouvelé pour 6 mois la période d’observation dont bénéficie l’entreprise. Celle-ci avait été placée en redressement judiciaire le 29 juillet 2015. Depuis cette date, Terra eco a opéré un redressement économique très significatif, avec en particulier une croissance nette des revenus de l’abonnement et des opérations spéciales.
Le Manifeste de la rédaction de Terra eco
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