Ni à Poudlard, ni à Brocéliande. La rédac de Terra eco ne s’abrite pas derrière une formule magique pour fabriquer au quotidien son édition électronique, chaque mois son magazine et ses suppléments au crépuscule de chaque saison. Il nous faut, pour tenir notre promesse éditoriale, aller chercher bien au-delà des forces à notre disposition. Dans le jargon de la presse, on appelle « pigistes » ces réservistes de la plume.
A Terra eco, depuis le coin de la rue, du Cap (Afrique du Sud) ou d’Ushuaïa (Argentine), nous avons fait travailler 130 journalistes rien qu’en 2014 et en sus des sept scribouillards permanents qui composent notre équipe. Les photographes, illustrateurs et autres joyeux troubadours de l’image n’ont pas été en reste : plus de 250 commandes ont été passées l’année passée. Pour cette seconde édition de la nouvelle formule de Terra eco et onze ans après l’inaugurale, c’est à eux tous que je songe. En France, la presse est fébrile, sa liberté est frêle mais ses forces – 36 317 cartes de presse en activité dont 25,87% de pigistes – sont encore vives. Que l’alchimie journalistique de Terra eco soit longue !
-
Terra eco
-
Terra eco
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions